Lotus a évité un premier écueil hier devant la justice anglaise en trouvant un accord à l’amiable avec son créancier principal, X-Trac, concernant des factures impayées.
La société, qui fournit les boîtes de vitesses à Lotus, ne mène donc plus la demande de mise en liquidation de l’écurie, une procédure qui permet en Angleterre de réclamer le montant des impayés et qu’un seul créancier à la fois peut suivre. Reste maintenant à voir si une autre entreprise voudra prendre la tête de ladite procédure.
Matthew Carter, le directeur général, a reconnu que la situation n’était pas bonne pour l’image de Lotus mais qu’elle était en revanche représentative des difficultés actuelles de certaines équipes en F1.