Ayant animé l’intersaison, le conflit opposant Team Lotus à Group Lotus a été relégué au second plan, dernièrement, par la compétition.
Les deux parties se sont retrouvées devant la Haute Cour de Londres à la fin du mois de mars et ont présenté leurs arguments respectifs au juge Peter Smith. L’enjeu est multiple mais concerne, notamment, le droit de porter le nom Lotus en Formule Un.
A l’heure actuelle, quatre monoplaces sont associées à Lotus : celles du Team Lotus de Tony Fernandes, à la livrée vert et jaune ; et les Lotus Renault GP, à la livrée noir et or.
Le verdict pourrait tomber à la fin du mois et changer quelque peu la donne, comme l’explique Tim Lowles, l’un des associés de l’équipe ‘Média et Sports’ du cabinet Collyer Bristow.
« Le long conflit entourant l’utilisation du nom Lotus en Formule Un devrait revenir devant la Haute Cour à la fin du mois de mai. Le juge décidera alors laquelle des deux parties est la détentrice légale de la marque », a-t-il déclaré à pitpass. « La décision du juge devrait être assez visible sur la livrée des voitures à l’heure de la septième course de la saison, au Canada. »