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Magnussen a un souvenir intense du dernier GP du Mexique

Il avait tenu tête au champion Lewis Hamilton

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Kevin Magnussen avait connu un Grand Prix du Mexique très animé l’an dernier : parti 18e, il était remonté jusqu’à la 8e place et avait même résisté à Lewis Hamilton durant les derniers tours.

« Ce fut un Grand Prix formidable pour nous l’an dernier » se rappelle le Danois, qui oublie cependant que Romain Grosjean n’avait pas fini dans les points. « Je ne m’étais pas bien qualifié, mais nous étions remontés à la 8e place. Nous avions pu capitaliser sur les erreurs des autres. La 8e place, c’était génial, et je me suis battu jusqu’à la fin pour la défendre… alors que lors de ce week-end, nous ne semblions pas en mesure d’inscrire de bons points. »

En performance pure, la Haas était loin du compte au Mexique en 2017. Était-ce en raison de l’influence de l’attitude selon Kevin Magnussen ?

« L’altitude affecte surtout l’aérodynamique. Nous avons des moteurs turbo, et nous dépendons aussi beaucoup de l’énergie électrique, donc le pourcentage de perte de puissance à ce niveau-là est moins élevé que par le passé. Nous perdons de l’appui en raison de l’air qui est moins dense, nous perdons aussi de la traînée, et l’altitude affecte aussi le refroidissement. Nous devons plus ouvrir la voiture du coup, au niveau des freins, du moteur, de l’huile, au niveau de tout. Cela compromet donc l’efficience de la voiture. C’est la même chose pour tout le monde, mais nous gérons tout cela. »

« Au niveau physique, l’altitude ne vous affecte pas trop. Vous pouvez sentir que l’air est moins dense, il faut donc un peu plus respirer, mais on s’y habitue. »

Le manque d’adhérence semble cependant nuire à la monoplace américaine…

« Vous avez besoin de beaucoup d’appuis ici » reconnaît le pilote Haas. « Puisque l’air est moins dense, vous perdez de l’appui et c’est assez délicat. Cela aussi a un effet sur la vitesse en lignes droites. Vous n’avez pas beaucoup de traînée en lignes droites, donc les vitesses de pointe sont très élevées. »

Sur un plan plus réjouissant, l’ambiance au Mexique est toujours spéciale, surtout au niveau du stadium…

« Vous ne prêtez pas vraiment attention aux tribunes durant la course. Vous ressentez l’ambiance durant la parade des pilotes et après la course. Chaque fois que vous quittez la piste ou arrivez sur le circuit, vous la ressentez aussi. Tous les fans deviennent fous. C’est ce qui rend le Grand Prix spécial : ce sont les fans, plus que tout. »

« La section du stadium est ma favorite sur le circuit. La piste est rapide, avec peu d’adhérence, et elle est difficile. »

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