Kevin Magnussen est un grand fan de la course des 500 miles d’Indianapolis, qui se disputera dimanche à 19 heures, le même jour que le Grand Prix de Monaco. Le Danois avoue qu’il aimerait participer à cette grande classique.
"La course sur ovale est une partie de la course auto que je n’ai jamais essayée et que j’aimerais essayer. Je suis curieux de savoir comment se passe la course sur ovale, c’est une chose que j’aimerais essayer" explique le Danois.
"Les 500 miles d’Indianapolis sont une course d’envergure, aussi importante que Monaco en F1 et Le Mans. C’est l’une des trois plus grosses courses, ce serait incroyable de la faire. J’espère que j’aurai ma chance d’y participer un jour."
Il avoue qu’il aimerait également piloter des voitures du passé, notamment des années 60 : "Il y en a beaucoup que j’aimerais piloter. Les choses étaient nouvelles à cette époque, les gens découvraient des choses et ce n’était pas si compliqué que ça l’est maintenant."
"Ces voitures étaient très simples. Si un pilote avait du talent, il faisait la différence. De nos jours, si votre fond plat est endommagé, vous n’avez aucune chance. Vous ne pouvez pas vous battre et vous n’êtes plus dans la course. Si une petite pièce tombe de votre monoplace, c’est fini. Vous pouvez avoir autant de talent que vous voulez, vous n’aurez aucune chance. C’est frustrant."
Il admet toutefois que le passé n’a rien à apporter à la F1 moderne : "Nous ne pouvons pas revenir en arrière, nous n’allons pas désapprendre toutes les choses que nous avons apprises. La technologie a évolué et nous ne pouvons pas revenir en arrière."
"La technologie et les connaissances sont là, donc les voitures ne seront jamais ce qu’elles étaient dans les années 60. Ce ne serait pas correct de forcer un retour en arrière car ce n’est pas possible. Mais ces voitures étaient magnifiques."