Quel est l’objectif pour Bakou ?
Ce serait bien de décrocher un bon résultat. Le Grand Prix du Canada n’a pas été bon pour nous, revenons donc à de solides performances. Même si cela ne se voit peut-être pas de l’extérieur, nous avons fait des progrès et j’ai hâte d’apprendre un nouveau tracé.
Que pensez-vous du circuit ?
Quelle longue ligne droite ! Ce sera intéressant. C’est un long circuit pour un tracé urbain et certains aspects sont particulièrement intéressants. Il faudra garder d’entrée l’œil ouvert dans la section très serrée, mais aussi sur les inconnues que sont la surface de la piste, les vibreurs ou les bosses. Je vais également tenter de rester loin des nombreux murs présents.
Comment jugez-vous votre Grand Prix du Canada ?
Difficile. Mon week-end était clairement compromis dès lors que j’ai percuté le mur en EL3. Je dois remercier toute l’équipe pour son dur labeur m’ayant permis d’avoir le châssis de secours prêt à temps pour la course. En elle-même, celle-ci était peu satisfaisante. Nous sommes partis en pneus tendres et nous semblions raisonnablement bien placés. Une fois en ultratendres, nous n’avons pas su trouver le rythme voulu et le second relais s’est révélé compliqué.
Comment abordez-vous Bakou ?
Il y a des limites au travail qu’on peut préparer avant d’arriver sur le circuit. Même chose tant que l’on n’y pilote pas. Je vais travailler d’arrache-pied avec mes ingénieurs pour obtenir les meilleurs réglages et voir ce que nous pourrons faire.