Fernando Alonso est toujours dans le collimateur de McLaren et cette équipe ne décidera rien concernant ses pilotes tant qu’elle n’aura pas eu sa réponse définitive pour le court ou le moyen terme. Même chose en ce qui concerne Sebastian Vettel, qui a aussi reçu une offre de la part de Woking.
Comment retenir Alonso chez Ferrari, une équipe qui peine à fournir à l’Espagnol une voiture capable de jouer sereinement le titre mondial depuis son arrivée, en 2010 ? On dit le pilote peu heureux de sa situation...
"Je n’ai pas besoin de garder Fernando Alonso heureux. Nous ne sommes pas là pour s’occuper du bonheur, nous sommes là pour produire les voitures les plus rapides," répond Marco Mattiacci.
"Je suis là pour qu’il soit à nouveau compétitif, pas heureux. De plus Fernando est sous contrat avec nous donc le garder n’est pas un des problèmes que j’ai à résoudre en ce moment. Il a un contrat jusque fin 2016."
Mattiacci pousse un peu plus loin son raisonnement.
"Fernando n’est pas un employé, c’est un talent. D’ailleurs je considère chacun dans l’équipe comme un talent et non comme un employé. Nous sommes avant tout des êtres humains unis par une même grande passion, la Scuderia."