Sam Michael a salué le travail accompli jusqu’à présent par Pirelli sur ses pneumatiques, soulignant qu’il n’était pas juste de comparer les gommes italiennes aux gommes développées par Bridgestone au fil des années.
« Je dois dire que Pirelli a fait un travail fantastique, par rapport au temps dont ils disposaient. Nous comparons l’usure et le niveau de grip de nos pneus à une référence de très haut niveau et à un manufacturier qui a été présent durant de nombreuses années », a expliqué le directeur technique de l’équipe Williams.
« Pirelli a fait des progrès fantastiques. Nous avions beaucoup d’usure et de dégradation, au début, mais on a déjà pu voir des progrès lors des derniers essais », a-t-il ajouté. « Pirelli travaille encore sur ses pneus et les améliore. »
"Les pilotes sont encore en train d’apprendre à rouler avec ces pneus. Ils sont très différents. Enfin, les équipes modifient les réglages et ajoutent plus d’appui. Tout ceci contribue à empêcher la voiture de glisser et pèse sur la dégradation", a-t-il continué.
S’il se montre positif envers les pneus Pirelli, Michael s’attend toutefois à voir les pilotes faire deux ou trois arrêts sur les premières courses de la saison.
« Je serais surpris si c’était pire que ça. Mais ça va s’arranger au fil de la saison », a-t-il indiqué.