Chargement ...

Montezemolo : Je remercie Alonso, qu’il décide de rester ou de partir

Divorce presque consommé

Chargement ...

Comme annoncé hier, Fernando Alonso et Ferrari risquent bien de se séparer dès la fin de cette saison, l’Espagnol ayant le choix d’aller jusqu’au bout de son contrat qui comprend encore deux saisons ou de partir.

C’est Luca di Montezemolo qui a mis fin aux spéculations et à la langue de bois au Mondial de l’Automobile à Paris, en indiquant qu’Alonso discutait de son avenir avec Mattiacci et que la meilleure solution serait trouvée pour lui et pour Ferrari.

Autant dire que le divorce est presque déjà consommé : plusieurs ingénieurs et mécaniciens proches d’Alonso ont déjà fait savoir qu’ils s’en iraient. Certainement chez McLaren, avec le double champion du monde.

Montezemolo ne veut pas encore aller aussi loin mais déclare : "Je dois remercier Alonso. Qu’il décide de rester ou de partir, il a fait beaucoup pour Ferrari. Nous avons un contrat et dans les prochains jours une décision finale sera prise dans le respect de chacun."

"S’il décide de rester, nous serons heureux. S’il décide de terminer notre collaboration, ce sera de la meilleure manière possible."

Ferrari fera certainement payer à McLaren et Honda cette rupture de contrat autorisée mais anticipée. A Suzuka, on évoque le chiffre de 20 millions d’euros, l’équivalent d’une année de salaire d’Alonso.

Le futur président de Ferrari, Sergio Marchionne, a lui été beaucoup moins sentimental à Paris : "Ferrari est plus importante que n’importe lequel de ses partenaires. Nos priorités sont bien définies : la société, la marque et avant tous les personnes."

Chargement ...

«Débuts retardés pour Stevens, nouveau pilote de réserve Marussia

Le mécanicien en chef de Vettel quitte Red Bull avant l’heure»

Info Formule 1


>Vasseur : Ferrari a maximisé son début de saison, Red Bull est sous pression

>Szafnauer conseille à Red Bull de garder Sergio Pérez en 2025

>Piastri ne sait pas s’il est ’un vainqueur’ en F1

>Gasly : Je veux être dans une F1 compétitive

>Donald Trump voulait se servir du GP de Miami pour récolter des fonds

+ d'infos Formule 1