L’ancien président de Ferrari, Luca di Montezemolo, s’est invité dans le débat concernant l’incertitude sur la présence de Monza dans les futurs calendriers de la F1.
La question sera au centre des discussions du paddock ce week-end, Bernie Ecclestone défiant les officiels italiens ainsi que le Premier Ministre, Matteo Renzi, en affirmant qu’il ne reverrait pas à la baisse ses exigences financières, même si Monza est un Grand Prix européen historique.
Montezemolo ne sera pas présent lors du Grand Prix d’Italie cette année pour la première fois depuis des décennies, mais il affirme que l’incertitude sur l’avenir de Monza n’est certainement pas une nouveauté.
"Les menaces qui pèsent sur le Grand Prix de Monza sont comme le Panettone (un pain sucré milanais) à Noël : c’est une tradition !"
"Chaque fois que la prolongation du contrat est en jeu, Bernie dit que le Grand Prix va quitter le calendrier mais ce n’est pas vrai au final."
"Bien sûr, tout le monde doit faire sa part dans les discussion, les belles choses comme la F1 coûtent de l’argent et vous ne pouvez pas vous en tirer sans payer. Mais, avec tout le respect dû à Bakou, je pense que se passer d’une autre course historique comme l’Allemagne était déjà assez déprimant."