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Nasr avait beaucoup d’opportunités pour arriver en F1

Le Brésilien refuse l’étiquette de pilote payant

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Débutant cette année chez Sauber, Felipe Nasr révèle que d’autres écuries souhaitaient le signer plus tôt dans sa carrière.

Le Brésilien, qui avait effectué des débuts tonitruants en Australie, souffre d’une étiquette de pilote payant, notamment à cause de son généreux sponsor Banco do Brasil.

"Ni mon père ni aucun de mes proches n’ont été pilote de Formule 1," explique Nasr. "Je viens d’une famille ordinaire. J’aurais pu arriver en F1 de différentes manières, mais j’ai suivi Steve Robertson."

Robertson est notamment connu pour gérer la carrière de Kimi Räikkönen. Le Finlandais n’y est d’ailleurs pas pour rien dans l’ascension de Nasr. En effet, en 2010, Nasr pilotait pour l’équipe Double R de F3, fondée par Räikkönen et Robertson.

"La première fois que je suis venu en Europe, Red Bull, Gravity (Lotus) et Mercedes étaient intéressées et voulaient me prendre comme pilote de développement," ajoute le Brésilien.

Nasr avait également testé une BMW-Sauber en 2009, alors qu’il n’était âgé que de 17 ans, mais le constructeur allemand s’était ensuite retiré de la F1.

"J’ai senti qu’aller avec Roberston était la bonne chose à faire pour moi," poursuit le pilote Sauber. "Mais maintenant, les gens pensent que je suis un pilote payant, mais je ne vois pas la différence entre moi et un pilote soutenu par Red Bull."

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