Même si Magny-Cours semble vouloir faire valoir sa carte, au moment où la France a vu son exécutif passer de droite à gauche, il semble que le Paul Ricard soit le circuit qui soit le plus apte à accueillir le Grand Prix de France.
Reste à savoir qui veillera à sa présidence. D’après RMC, c’est bien l’ancien patron de Citroën Racing, Olivier Quesnel, qui pourrait être à la tête du Grand Prix. RMC affirme que "les défenseurs du projet du Grand Prix de France au Castellet (Var) souhaiteraient trouver un patron lié au sport automobile pour gérer le projet. Le profil recherché est celui d’une personnalité qui connaisse parfaitement les problématiques sportives et les questions de sponsoring."
Quesnel a rencontré le président de la FIA, Jean Todt au début de la semaine mais a démenti, toujours à RMC, avoir été contacté pour occuper le poste.
Le contrat du Grand Prix de France n’est toujours pas officiellement signé, même si le GIP, qui en assure le financement, a été officiellement créé la semaine dernière.