Jolyon Palmer est prêt à défier le célèbre circuit de Monza après un week-end belge qui ne lui a pas souri et n’a donc pas tenu ses promesses.
Qu’avez-vous pensé de Spa ?
C’était un week-end positif avec une voiture à nouveau compétitive. Si j’étais parti septième, j’aurais pu marquer des points, mais c’était difficile à faire en étant quatorzième sur la grille. Le bilan reste tout de même positif et je suis content de ma rentrée. Cela aurait été bien de scorer, mais c’était mieux que sur les rendez-vous précédents. Nous devons faire la même chose sur les prochaines courses. Cela progresse, donc ça finira par arriver. Je dois juste me débarrasser de mon chat noir.
Qu’appréciez-vous particulièrement à Monza ?
C’est une piste que j’adore. Monza est à part et fait partie de ces tracés chargés d’histoire, surtout lorsque l’on repense aux courses fantastiques qui y ont eu lieu et à tous les grands pilotes qui s’y sont imposés. La foule est passionnée au point d’entendre les fans quand nous sommes au volant. Le circuit en lui-même est à l’ancienne et très plaisant. Nous retirons beaucoup d’appuis pour attaquer pleinement sur certains secteurs. Les dépassements peuvent alors être nombreux.
Quels résultats avez-vous obtenus à Monza durant votre carrière ?
J’ai signé la pole position et j’ai gagné en GP2, sans oublier deux victoires en F2. Monza me réussit donc assez bien et je crois même qu’il s’agit de l’un de ceux qui me sourit le plus. L’an passé, les choses ne s’étaient pas vraiment déroulées comme prévu, mais j’espère pouvoir faire mieux cette fois.
Selon vous, que faut-il pour réussir à Monza ?
Avec les longues lignes droites de Monza, la vitesse de pointe compte énormément, tout comme la stabilité au freinage. Ces sections rapides sont associées à quelques virages très lents, d’où le besoin d’équilibrer les faibles appuis avec les gros freinages tardifs. Tout tourne autour de la quête d’une bonne vitesse de pointe et du niveau d’appuis optimal pour négocier les chicanes.