Pour mettre Vitaly Petrov de très mauvaise humeur, il suffit de lui dire que c’est grâce à l’argent de ses sponsors qu’il est aujourd’hui en F1. C’est ce qu’un journaliste de la Stampa lui a dit pour le faire réagir...
"Je ne vois aucune différence entre moi et Alonso, car tout le monde sait qu’il est soutenu financièrement par la banque Santander. Quoi qu’il en soit, on ne peut rester en F1 que si l’on a du talent," affirme Vitaly Petrov.
Un journal italien avait écrit dans ses colonnes que Vitaly Petrov a dix ans de moins que Jarno Trulli et dix millions de plus. C’est en grande partie ce qui explique que le Russe est aujourd’hui chez Caterham et que Trulli n’y est plus. Mais Petrov ne se sent pas désolé pour Trulli. "La vie est dure," se contente-t-il de dire.
L’Italie voit en Petrov le pilote qui a privé le pays de représentant en F1 cette saison, mais le Russe aime l’Italie, un pays dans lequel il a vécu longuement. "Ce que je préfère en Italie, c’est la nourriture et les filles."
Petrov aime donc les filles italiennes, mais il ne s’attend pas à en voir au départ d’une course de F1, qu’elle soit italienne ou pas. "Elles n’ont pas les capacités physiques nécessaires et ne sont pas préparées pour les très hautes vitesses. Mais finalement, tout est possible dans la vie," ajoute Vitaly Petrov.