La fin de la saison arrive, à Interlagos. Vous avez obtenu un podium en début d’année, en Australie. Cela vous semble-t-il déjà très loin ?
VP : Oui, vraiment. C’était une une sensation extraordinaire, que j’aimerais revivre absolument. Il est dommage que je n’aie pas eu l’occasion de répéter cette performance. Mais il faut se tourner vers l’avenir et dans l’immédiat, la dernière course, au Brésil.
A propos de cette dernière course, êtes-vous en manque de confiance après les difficultés d’Abou Dhabi ?
VP : J’ai toujours confiance, mais vous n’avez jamais vraiment de certitude sur le comportement de votre voiture. Abou Dhabi a été un week-end très, très frustrant pour nous, mais ici, nous avons une vraie chance de passer en Q3 et de marquer des points. Alors nous donnerons le maximum.
Ce circuit d’Interlagos vous est-il familier ?
VP : C’est un classique. Il propose quelques virages inhabituels, des dévers, etc… Il faut avoir tout dans l’ordre ici pour réussir. La météo, aussi, est toujours imprévisible. Il pleut souvent, mais cela peut aussi être sec et c’est toujours intéressant. Nous verrons bien.