La crevaison de Nico Rosberg survenue hier à plus de 300 km/h n’est pas due à un défaut de structure de son pneu arrière droit.
C’est la conclusion de Pirelli, annoncée ce matin par la porte-parole du manufacturier italien, Maria Stella Narciso.
"Nous avons terminé l’enquête. Elle a duré toute la nuit, à la fois ici en Belgique, tout comme à Milan."
"Nous pouvons écarter avec une absolue certitude qu’il s’agissait d’un problème de structure du pneu."
"Il est très, très difficile de trouver la source d’un dommage au pneu après les faits mais nous en sommes venus à la conclusion que ce dommage a dû être causé par des éléments externes."
La porte-parole a aussi confirmé que Mercedes roulait avec des pressions de pneus et un carrossage respectant les préconisations. "Mercedes a agi de manière exemplaire dans ce domaine."