Le Grand Prix de Malaisie de la semaine prochaine pourrait être l’épreuve la plus dure pour les pneus Pirelli cette année. C’est que que pense le directeur de la compétition de la marque, Paul Hembery.
Après avoir montré une usure moindre que prévue à Melbourne, les Pirelli aborderont une surface autrement plus abrasive à Sepang, un circuit à fort appuis aérodynamiques ce qui stresse encore plus les gommes. A tel point qu’Hembery s’attend peut-être à voir quatre arrêts.
"La nature du circuit de Sepang et les températures de piste qui atteignent parfois les 50 degrés celsius seront l’une des combinaisons les plus agressives pour nos pneus. Évidemment la pluie pourrait changer cette situation mais il est probable que dans des circonstances normales, sur le sec, le Grand Prix pourrait offre une moyenne de quatre arrêts aux stands par pilote," déclare-t-il.