Selon la réglementation actuelle, chaque pilote a le droit d’utiliser quatre trains de pneus intermédiaires et trois trains de pneus pour la pluie, mais cette allocation est valable pour la totalité d’un Grand Prix, c’est-à-dire les essais libres, la qualification et la course.
Paul Hembery, le directeur de la compétition chez Pirelli estime que dans certaines circonstances, cette allocation en pneus pourrait être trop juste.
"Si nous devions avoir trois jours de pluie, il y a des équipes qui pourraient être dans l’incapacité de rouler pendant certaines séances. Il y a donc un grand point d’interrogation là. Je n’ai jamais vu trois jours de pluie consécutifs, mais cela pourrait arriver," déclare-t-il.
Paul Hembery va donc demander aux équipes de réfléchir à une augmentation de l’allocation en pneus pour piste mouillée.