Compte tenu de son passé au Grand Prix d’Allemagne, Kimi pourrait inclure la chance dans ses paramètres. Mais cela affecte-t-il Iceman dans sa façon d’aborder la course ? Aucune chance…
Kimi, c’était une journée stop and start pour vous. Que retirez-vous de ces séances ?
Je n’ai pas tourné autant je l’aurais voulu à cause de la pluie, mais personne ne peut contrôler le temps. C’est comme cela et nous avons fait ce que nous pouvions dans ces conditions. C’était pareil lors des dernières courses, alors nous commençons à avoir l’habitude. C’était un vendredi assez normal. C’est le jour où nous essayons des nouveautés, mais malheureusement, ces conditions rendent l’exercice un peu compliqué.
Si le temps reste le même demain, quel impact peut-il avoir ?
Vous ne pouvez jamais vraiment tirer des conclusions définitives des essais libres, ni dire qui sera rapide et qui le sera moins. Le temps change assez vite ici et le circuit était plutôt glissant par endroits. Mais la piste a séché assez vite quand la pluie s’est arrêtée. Nous avons eu des conditions similaires à Silverstone et pour les qualifications, il s’agissait juste de sortir au bon moment avec les bons pneus, ce qui est difficile à juger. Il faudra juste regarder comment cela se passe demain et faire avec.
Nous atteignons le milieu de la saison. Etes-vous satisfait de la façon dont elle se déroule ?
Nous sommes troisièmes au championnat des constructeurs et je suis cinquième au classement des pilotes. Alors dans l’ensemble, c’est bien, mais nous avons le sentiment que nous aurions pu mieux faire en certaines occasions. Il y a toujours de la place pour s’améliorer et, bien sûr, c’est toujours facile à dire avec le recul. Mais cela fait partie du jeu. Nous apprenons de nos erreurs et l’équipe travaille avec acharnement pour monter encore au classement dans la seconde partie de la saison. Nous verrons bien où nous terminerons.