Kimi Raikkonen aura certainement envie de briller à Monaco, après la déception de son abandon lors du Grand Prix d’Espagne, au départ, percuté par un Valtteri Bottas un peu trop optimiste.
Bonne nouvelle, le Finlandais admet "bien apprécier le circuit monégasque. J’y ai d’ailleurs fait de bonnes courses dans le passé !"
"Je ne peux pas comparer Monaco à un autre circuit. C’est un vrai défi et, pour réussir, il faut que tout se passe bien. Quand la voiture fonctionne, quand vous avez le bon feeling, alors piloter à Monaco est vraiment sympa. Mais les choses peuvent vite déraper et, à ce moment-là, ce week-end peut devenir vraiment très long !"
"Il n’y a pas de secret à Monaco : il faut faire beaucoup de tours, travailler sur les réglages pour être à l’aise et pour que la voiture se comporte comme vous le souhaitez. Avec un peu de chance notre Ferrari va se comporter comme lors des premières courses cette année : de bonne façon !"
Lorsque nous lui demandons si les voitures 2017, plus larges, pourrait rendre le défi encore plus difficile, le Finlandais relativise.
"Je ne sais pas. Je pourrais avoir tort mais je ne pense pas que nous le subirons tant que cela. Si on considère les circuits sur lesquels nous avons déjà couru cette année, la première fois, cela semblait un peu différent mais sans créer de problème particulier."
"Cela pourrait être différent ici, le pneu avant reste la limite et cela n’a pas beaucoup changé ces dernières années. Nous nous calons sur sa position pour savoir si ça passe ou pas ! Je ne vois pas trop de problèmes mais, encore une fois, je pourrais avoir tort. Nous le saurons lors des essais libres !"