Problèmes financiers toujours, cette fois-ci pour le circuit de Hockenheim, qui aurait pu se retrouver seul organisateur du Grand Prix d’Allemagne après le retrait du Nürburgring. Mais les négociations avec la FOM sont compliquées et Hockenheim a fait savoir hier que le temps manquait maintenant pour organiser une course d’ici la mi-juillet.
Nico Rosberg se dit très déçu à l’idée que son Grand Prix national n’ait pas lieu.
« Le Grand Prix d’Allemagne doit faire partie du championnat de Formule 1, déclare le pilote Mercedes. C’est une course absolument légendaire et il y a tellement de représentants allemands en F1. Et c’est aussi une de mes deux courses à domicile. J’espère qu’on aura un Grand Prix d’Allemagne mais je n’en sais pas plus. »
Son patron, Toto Wolff, partage ce sentiment, précisant toutefois que Daimler s’implique de loin dans les tractations.
« Ce n’est pas la tâche principale de Daimler de se mêler aux négociations entre le promoteur et le détenteur des droits, mais ce Grand Prix est très important pour nous. C’est pour ça qu’on essaie d’aider. Les négociations de droits sont complexes, et je dirais que pour le moment nous jouons un rôle de conseiller pour les faciliter. Mais ce n’est pas encore réglé. »