Nico Rosberg va entamer sa cinquième saison avec l’équipe Mercedes et il va le faire avec le numéro six, celui qu’avait son père lorsqu’il avait remporté le titre mondial en 1982. Un signe ?
“Je suis particulièrement impatient de m’installer pour de bon au volant de la voiture après qu’elle ait été brièvement testée à Silverstone vendredi passé,” déclare Nico Rosberg. “Cet hiver a été très intense et je suis maintenant impatient de rouler avec cette voiture. Cette saison sera très complexe avec un tas de nouvelles technologies et je trouve ça génial. Cela rendra notre sport très contemporain. Il est désormais question de consommer le moins d’essence possible et d’utiliser des systèmes de récupération d’énergie et je pense que c’était la bonne chose à faire, car cela rendra les courses encore plus intéressantes.”
“Après avoir participé à la séance d’essais de Bahreïn avec Pirelli en décembre, je ne suis resté qu’un mois loin des pistes et c’est une bonne chose, car je vais pouvoir me relancer tout de suite. Nous allons participer à trois séances d’essais et comme d’habitude, le temps de piste sera très limité. Ce sera donc un fameux challenge de fiabiliser la voiture. Je crois que nous sommes dans les temps, mais cela s’annonce très difficile pour toutes les équipes, mais je me sens chanceux, car il y a une grande équipe derrière moi. Je suis persuadé que nous allons faire du bon travail.”
“J’ai complètement modifié la décoration de mon casque et j’aurai bien sûr le numéro six sur le nez de ma voiture. Mon père m’a envoyé un mail cet hiver pour me dire que ce chiffre lui avait porté chance lorsqu’il était devenu champion du monde, mais cela ne m’a pas convaincu. Ensuite, c’est ma fiancée qui m’a dit que c’était un chiffre qui lui portait chance et cela m’a fait réfléchir. Après ça, je me suis souvenu que j’avais remporté un championnat avec ce chiffre en 2002. J’espère que c’est le signe que cette saison sera bonne pour moi,” ajoute le pilote allemand.