Marcus Ericsson espère que Sauber aura réussi à trouver des solutions pour mieux faire fonctionner les pneus les plus tendres sur la C36 Ferrari.
Le Suédois ne veut plus revivre le calvaire de Monaco à Montréal. Après les premiers essais libres, sa Sauber est à 3 secondes du meilleur temps de Hamilton mais semble en mesure de rester collée au peloton cette fois.
"Oui c’est vrai qu’à Monaco nous avons énormément souffert avec les pneus, nous n’avons pas réussi à les faire fonctionner dans la bonne fenêtre de températures. Alors nous avons pas mal travaillé après cette course, à l’usine, pour comprendre et faire en sorte que ça se passe mieux ici," explique Ericsson.
"Montréal est aussi difficile pour chauffer les pneus, surtout à l’avant, parce qu’il y a peu de virages rapides. Nous avons toutefois quelques idées à essayer ce week-end et cela devrait nous aider à avoir un meilleur week-end."
"Pour l’instant il fait assez chaud et cela nous aide évidemment. J’espère que la météo va rester ainsi. C’est vrai que les pneus sont devenus les clés de la performance à l’heure actuelle."