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Todt : Michael Schumacher est toujours mon ami

Le Français tient à être là pour sa famille

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Plus de deux ans après son accident de ski, on en sait toujours aussi peu sur l’état de santé de Michael Schumacher. Jean Todt, aujourd’hui président de la FIA, se dit toujours très proche du septuple champion du monde et se remémore ses années chez Ferrari.

« Ma relation avec lui a changé, évidemment, mais c’est toujours mon ami. Les liens se sont resserrés avec Corinna et sa famille, car je sens qu’il est de mon devoir de les épauler. »

Après ses titres, Schumacher s’était tourné vers une autre discipline : « je me souviens à quel point je m’inquiétais après son départ de Ferrari, reprend Todt, quand il a commencé à courir en moto. J’ai donc été soulagé de le voir revenir en F1 chez Mercedes. »

Et avant cela, l’Allemand avait bien évidemment réussi à ramener la Scuderia au sommet.

«  Quand les choses tournent mal, les Italiens ont tendance à se jeter la pierre entre eux, comme nous avons pu le voir récemment. Les responsables châssis font porter le chapeau à ceux du moteur, qui leur renvoient la balle. Ou bien on met ça sur le dos du pilote. Avec Michael, j’ai réglé au moins l’un de ces problèmes. »

Mais Todt estime que le sauveur de Ferrari aurait tout aussi bien pu s’appeler Ayrton Senna, qui avait fait part de son intérêt pour l’écurie italienne.

« Il voulait rejoindre Ferrari et Ferrari voulait l’embaucher. En 1993, nous nous sommes longuement entretenus et le son de sa voix était fascinant : il parlait très lentement et de manière extrêmement claire. »

Mais en 1994, Jean Alesi et Gerhard Berger étaient sous contrat, et Todt avait ainsi rappelé Senna pour l’année suivante. Mais le Brésilien avait alors « décliné, car il avait déjà choisi de s’engager avec Williams ». Et c’est ainsi que Ferrari a recruté Schumacher en 1996.

« Pour moi, c’était le seul pilote de l’époque à pouvoir mener Ferrari au titre mondial. Il affichait une combinaison de talent, de dévouement et de loyauté, et c’était une référence pour les ingénieurs, » conclut Todt.

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