Le 300e Grand Prix de Fernando Alonso en F1 ne sera pas des plus faciles : en raison du manque de vitesse de pointe de la McLaren-Renault, l’Espagnol ne s’attend pas à faire des miracles au Canada ce week-end. Le pilote McLaren ne veut ainsi pas faire de fausses promesses à ses fans…
« Après un week-end décevant à Monaco, j’ai déjà hâte de me rendre au Canada. C’est un circuit formidable, un vrai test pour le pilote et la voiture. Le ‘Mur des Champions’ a fait déjà beaucoup de victimes parmi les meilleurs pilotes, et la voiture de sécurité joue toujours un rôle dans le résultat final de la course. »
« J’ai toujours apprécié de courir à Montréal. C’est le meilleur équilibre possible car nous avons à la fois une piste formidable, et les caractéristiques d’un circuit urbain. Et la ville est amusante à visiter. »
« J’ai pris du plaisir lors de certaines courses formidables à Montréal et j’ai gagné ici en 2006, donc c’est un endroit spécial pour moi. Et ce le sera d’autant plus ce week-end puisque je célébrerai mon 300e Grand Prix. »
« Ce sera certainement un circuit difficile pour nous, mais nous progressons avec notre package course après course. Une course imprévisible, avec des rebondissements, ou une météo changeante, comme c’est arrivé plusieurs fois par le passé ici, pourraient nous offrir quelques opportunités. C’est à nous de tirer profit de chaque possibilité. »
Toujours dans l’ombre de son coéquipier, Stoffel Vandoorne réussira-t-il à battre enfin son coéquipier à la régulière, en course comme en qualifications ?
« J’ai vraiment apprécié de courir à Montréal pour la première fois l’an dernier, et je me sens bien préparé pour affronter de nouveau les rues de Montréal. C’est un circuit complétement différent par rapport à Monaco, mais beaucoup de principes fondamentaux restent les mêmes : des rues étroites, des murs proches et des luttes en piste rapprochées. »
« Je sens que nous nous améliorons étape par étape et j’espère que nous pourrons le montrer à Montréal. Nous avons eu des qualifications malchanceuses à Monaco, puisque nous n’avions pas d’autre choix que de renvoyer la voiture avec un petit problème, et cela a influencé notre position de départ et donc le reste de notre week-end. Nous avons besoin, en plus d’une préparation solide, d’un peu de chance pour nous ce week-end – pour moi comme pour Fernando. »
« J’adore les circuits urbains, ce sont les circuits que j’apprécie le plus puisqu’ils posent les plus grands défis pour un pilote. Il y a définitivement plus d’opportunités de dépassements à Montréal qu’à Monaco, donc il y a plus de chance de capitaliser sur chaque évènement arrivant en course. »