Si Red Bull décide effectivement de rompre par anticipation son contrat avec Renault, cela pourrait lui coûter très cher.
Renault souhaite que l’accord soit respecté jusqu’à fin 2016, sinon elle pourrait exiger un dédommagement, inscrit au contrat, de 40 millions d’euros.
A cela s’ajouterait une fin de contrat automatique avec Infiniti, la division luxe du groupe Renault-Nissan et un manque à gagner supplémentaire de 40 millions d’euros.
Red Bull se retrouverait donc avec un trou dans les caisses de 80 millions d’euros, que Dietrich Mateschitz serait prêt à combler si Red Bull pouvait disposer du moteur Mercedes en 2016.
Mais le moteur allemand ne sera pas gratuit : la facture serait sans remise, soit 25 millions d’euros supplémentaires à débourser...