Sebastian Vettel, intouchable cette saison, a décroché dimanche à Suzuka son deuxième titre mondial au prix d’une troisième place. Ce quatorzième podium en l’espace de quinze courses, dont neuf victoires, et depuis sa douzième pole position, a permis au plus jeune double champion du monde de l’histoire de s’adjuger le championnat alors qu’il reste quatre Grands Prix à disputer.
Si on pense aux titres pilotes, équipes et parfois moteurs, on pense rarement aux pétroliers. Cocorico, pour Total c’est un nouveau titre en l’espace de sept saisons. Total a été associé à quatre titres pilotes, 2005-2006 avec Fernando Alonso et le Renault F1 team, 2010-2011 avec Sebastian Vettel et Red Bull Racing.
Véritable métronome de la performance, le pilote Allemand a pu compter sur une Red Bull RB7 sans égale depuis l’ouverture australe de la saison 2011. Le fruit d’un partenariat étroit entre Total, Renault Sport F1 et Red Bull Racing. Total s’appuie en effet sur plus de trente ans d’expérience de la F1 pour proposer à Renault des carburants et lubrifiants à même de permettre l’exploitation optimale du V8 RS27 entre performance, fiabilité et maitrise de la consommation, tout en proposant aux ingénieurs Red Bull des lubrifiants, graisses et fluides d’une efficacité éprouvée pour le châssis.
Une expertise de l’excellence qui, d’ici la fin de la saison, devrait permettre à Red Bull Racing de décrocher un nouveau titre constructeurs, et à Sebastian Vettel de viser le record de pole positions dans une même saison.