Stoffel Vandoorne arrive à Bakou avec la satisfaction de piloter sur un très bon circuit, et espère que la course de cette année sera aussi folle que celle de l’an dernier, afin de permettre potentiellement à McLaren de tirer son épingle du jeu.
"Le Bakou City Circuit est plutôt difficile, mais c’est un circuit plaisant, et il est difficile pour les pilotes" explique le Belge. "On roule littéralement à travers le centre historique e la vieille ville, ce qui était une superbe expérience l’an dernier, et dépasser est difficile dans les rues étroites."
"Ceci dit, nous avons vu tout sauf une course ennuyeuse l’an dernier et j’espère que nous pourrons prendre l’avantage de tous les rebondissements que cette piste va proposer le week-end prochain. L’édition de l’an dernier a été rude pour nous car la seule chance de dépasser se situe en bout de ligne droite, et ce sera difficile encore, mais nous verrons ce qu’il est possible de faire avec la MCL33."
Vandoorne reconnaît que McLaren va devoir miser sur la course, mais aussi sur des faits de course et une bonne stratégie, car la performance pure ne suffira pas. Et le pilote veut également corriger ses mauvais départs, comme on a pu le voir en Chine, où il a ruiné son premier relais en se retrouvant coincé derrière des voitures plus lentes.
"Nous devons nous caler sur une bonne stratégie, et de mon côté, le départ sera crucial dimanche. Je n’ai pas pris les meilleurs départs durant les dernières courses, et avec les dépassements difficiles ici, nous devons faire au mieux en termes de position de départ."
"En Chine, je me suis battu mais j’avais des dégâts sur le fond plat et ça a rendu les choses difficiles, donc j’espère une bonne bataille dans le milieu de peloton à Bakou, et de pouvoir progresser autant que possible durant la course."