Sebastian Vettel aurait préféré une fin de saison plus calme que ce qu’il a connu à Abu Dhabi et au Brésil, forcé par deux fois à remonter tout le peloton pour assurer un bon résultat essentiel dans son objectif de titre.
Il revient de manière ironique sur ces deux courses. "Cela parait un peu comique maintenant non ? J’étais estampillé comme le pilote qui ne sait pas dépasser à force de rouler devant. Maintenant, après deux courses folles pour moi, à Abu Dhabi et au Brésil, je crois que les gens ont changé d’avis sur mes capacités."
Pour Vettel, l’engagement de soi n’est pas différent dans les deux situations. "Les gens mettent toujours à votre crédit le fait de dépasser plus de pilotes que de se construire une avance en tête de course. Peut-être qu’ils ne comprennent pas à quel point c’est dur de créer un écart ?"
"Gagner depuis la première ligne ou remonter le peloton c’est la même chose. Vous avez toujours à faire de votre mieux," conclut l’Allemand.