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Vettel devait supporter beaucoup de pression chez Ferrari selon Hamilton

Un champion qui a su rebondir après avoir traversé des moments difficiles

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Pour remporter ses cinq titres mondiaux, Lewis Hamilton a dû affronter de nombreux rivaux, dont au premier rang Kimi Räikkönen, Fernando Alonso, Felipe Massa, Nico Rosberg ou Sebastian Vettel en 2017 et 2018.

Par rapport à ses homologues, à quel niveau se situe Sebastian Vettel ? Lewis Hamilton estime-t-il qu’il s’agit de son plus rude adversaire depuis 2007 ?

« C’est vraiment difficile de… ce n’est jamais formidable de comparer les gens parce que tout le monde est unique à sa façon » répond, un peu embarrassé, Lewis Hamilton. « Si vous essayez de le faire, alors, naturellement, cela fera les gros titres et on pourra percevoir votre réponse de manière négative. »

« Il est quadruple champion du monde et cette année, il y avait de la pression autour de lui, car Ferrari n’a plus gagné un championnat depuis tant d’années… c’est beaucoup pour un seul homme. Cette année… même s’il a connu des moments difficiles, il a toujours rebondi, comme au Mexique, et c’est le signe d’un vrai champion. J’ai été assez chanceux pour courir contre beaucoup de pilotes et très peu nous sépare. C’est ce qui est formidable en F1. »

Comme l’an dernier, le titre fut décidé au Mexique après une tournée asiatique désastreuse pour Ferrari. Finalement, qu’est-ce qui a vraiment changé entre 2017 et 2018 pour Lewis Hamilton comme pour Sebastian Vettel ?

« L’an dernier, nous avons eu des courses vraiment solides mais cette année, je voulais vraiment personnellement montrer que je pouvais élever mon niveau de jeu, parce que chaque saison, vous devez vous attendre à ce que vos concurrents en fassent de même. Ferrari a vraiment progressé en termes de rythme cette année et je pense que nous avons été un peu derrière eux, la plupart du temps. Même si ce ne fut que d’un ou deux dixièmes. Et j’ai dû amener ce petit bonus, pour arriver à un autre niveau, pour pouvoir obtenir ce genre de performances et gagner la course, même si nous n’étions pas les plus rapides. C’est grâce à ma préparation mentale, physique, aussi grâce au formidable travail de toute l’équipe, qui est restée unie. Sur le plan de la stratégie, tout cela. »

« En dernier ressort, du côté des pilotes, je suis très, très heureux et très fier de la manière avec laquelle j’ai pu atteindre ces performances. Mais je suis vraiment, vraiment fier de toutes les personnes autour de moi qui ont aussi élevé leur niveau de jeu. Ce fut la clé. »

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