Sebastian Vettel s’est refusé à tout pronostic pour le prochain Grand Prix, en Italie. Disputée sur le circuit de Monza, la course réserve parfois son lot de surprises, les voitures les plus efficaces en termes de vitesse de pointe et de capacité à franchir les vibreurs se montrant souvent les plus rapides.
"C’est très difficile de prédire ce qui va se passer à Monza, si nous serons très performants ou performants et comment les choses vont se dérouler," prévient le pilote Red Bull Racing.
"Par le passé, nous y avons souvent bien souffert, quand nous étions la proie des autres en ligne droite. D’autres années, nous avons été plus performants en maitrisant mieux notre déficit en vitesse de pointe."
Vettel mise sur les qualités de sa RB9. "Nous pouvons refaire notre retard dans les virages, si nous arrivons à répéter ce que nous avons fait en 2011 par exemple, ce serait génial. Mais c’est dur de prédire ce qui peut se passer cette année."
Le triple champion du monde tire toutefois confiance de deux courses qui se sont bien déroulées pour lui, sur deux circuits rapides : Montréal et Spa.
"Nous avons eu une bonne course au Canada et une très bonne course en Belgique, où il y a un niveau d’appuis moyens. Alors j’espère qu’avec notre package à faibles appuis nous irons dans la même direction. Je suis assez confiant."