Cette saison, l’utilisation du DRS ne sera plus autorisée lors de la qualification, mais seulement en course et bien sûr seulement dans la zone d’activation de ce système aérodynamique. Selon Mark Webber, c’est un soulagement pour tous les pilotes.
"Globalement, le DRS est un système très positif pour la course du dimanche," explique le pilote australien. "Pour quelle raison devrions-nous l’utiliser le vendredi et le samedi ? Je crois que nous avons opté pour la bonne solution."
"Les pilotes ont accepté à l’unanimité le fait que nous ne devrions pas boucler un tour complet avec le DRS activé. Le DRS doit seulement servir en ligne droite pour les dépassements, car c’est pour ça qu’il a été introduit," poursuit Mark Webber.
Sur certains circuits, ce système sera toutefois d’une utilité très réduite. "Nous savons qu’il y a quelques circuits où son effet sera réduit, comme à Budapest ou à Monaco. Cela ne représente que 10% du calendrier, mais sur les autres circuits, c’est dans notre intérêt que ce système fonctionne bien," ajoute Webber.