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Wehrlein n’avait pas les 15 millions pour continuer en F1

Et explique qu’un retour en DTM a toujours été une option

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Pascal Wehrlein n’a pas connu une année évidente en 2017 chez Sauber. Bien qu’il ait devancé Marcus Ericsson toute la première partie de saison, il a moins réussi à convaincre au moment où c’était le plus important puisqu’en fin de saison, c’est le Suédois qui a été choisi pour 2018.

Il était également en lice pour un baquet chez Williams mais n’a pu aligner la somme d’argent nécessaire pour sécuriser ce volant. Il pilotera en DTM cette année, un retour au source pour celui qui y fut champion en 2015. Il conservera le soutien de Mercedes.

"Nous n’avons pas pu rassembler les 15 millions d’euros nécessaires à l’année" regrette Wehrlein. "C’est décevant que la Formule 1 n’ait pas fonctionné de mon côté pour le moment, mais c’est comme ça".

"Malheureusement, je n’ai pas eu le volant et je voulais impérativement rouler en 2018, c’est pour cela que le DTM a toujours été une option. C’est pour cela que la décision a été simple pour moi. C’est aussi la dernière année de Mercedes en DTM et nous voulons gagner".

Il préfère toutefois rester conscient que le DTM ne le ramènera pas forcément vers la Formule 1 : "Ce n’est pas en mon pouvoir. Je pense que si je suis encore au meilleur niveau, cela pourrait m’aider. J’espère que je serai en bonne position dans un an et que je trouverai un volant que je veux en F1".

"J’aimerais reprendre où je me suis arrêté en 2015" poursuit-il au sujet du DTM. "Ce sera plus difficile qu’en 2015 car je n’ai pas piloté une voiture de tourisme depuis deux ans et ça a changé. J’ai toutefois les plus hautes attentes me concernant et je veux être compétitif au plus vite".

"Avant tout, je dois me remettre dans le bain. Pour le moment, j’ai encore le feeling de la Formule 1 en moi et dans mon pilotage. Je veux gagner des courses. Je n’en ai pas gagné depuis deux ans et ce n’est pas simple car cela me manque grandement et c’était aussi l’idée de ce retour, de pouvoir piloter à l’avant et gagner".

Il envisage potentiellement un double programme, pourquoi pas avec la Super Formula au Japon, mais a très vite réfuté l’idée de prendre une année sabbatique, bien que celle-ci lui ait frôlé l’esprit.

"Je n’ai pas abandonné l’idée de la F1. Un ou deux programmes supplémentaires ne sont pas exclus. Une opportunité existe en Super Formula et je pourrais y rouler en parallèle du DTM. Je n’ai jamais perdu le contact avec mon ancienne équipe de DTM et j’avais assisté à quelques courses. Je suis resté en contact avec mes mécaniciens et mes ingénieurs, mais aussi avec Ulrich Fritz".

"Un retour en DTM a toujours été une option pour moi. Et j’ai aussi eu l’idée de prendre une année lors de laquelle je pourrais ne pas rouler, mais à l’âge de 23 ans, je n’ai pas pu l’envisager réellement. Il m’a fallu du temps avant de décider de ce que j’allais faire".

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