Toto Wolff a répété qu’il n’était pas possible d’offrir des moteurs au prix de 12 millions d’euros souhaité par la FIA et qui éviterait ainsi de lancer un appel d’offres pour un moteur indépendant et à bas coût.
Comme l’Autrichien l’expliquait au Mexique, cette somme ne couvrirait pas toutes les dépenses consenties. Le patron de Mercedes en F1 enfonce le clou.
"Nos partenaires souhaitent avoir le moteur le plus compétitif et pour y arriver, dans un sport qui est lui aussi très compétitif, nous devons dépenser des sommes considérables pour développer ces moteurs," explique Wolff.
"Personne ne nous a jamais demandé comment nous pourrions rentrer dans nos frais, ni même si cela était possible. Vous pouvez toujours dire que le bénéfice en termes de marketing et de publicité compense ça mais nous vivons dans un monde où la réalité commerciale s’impose à tous."
"Je pense que vous ne pouvez pas attendre de la part du moindre acteur de ce sport de faire de la charité dans son approche. Il faut par contre, tout en optimisant sa propre situation, trouver un compromis pour le bien du sport."