Toto Wolff s’est fait une raison, comme bon nombre de patrons de top teams qui ont eu à gérer deux pilotes au meilleur niveau en Formule 1 : il est impossible d’éviter la rivalité et les conflits.
Lewis Hamilton et Nico Rosberg n’ont pas mâché leurs mots ces dernières semaines mais tant que cela n’a pas d’effet néfaste sur Mercedes, cela convient au patron autrichien.
"Je pense que leur relation est OK. Disons qu’elle est aussi bonne qu’elle peut l’être quand vous avez deux pilotes compétitifs, aussi proches que possible, dans la même voiture, qui se battent pour le championnat du monde. Vous ne pouvez plus attendre d’eux d’être les meilleurs amis," explique le patron de Mercedes F1.
"Nous avons eu nos hauts et nos bas mais, en général, cela n’a pas été au détriment de l’équipe. Il y a eu un respect de l’équipe. Quand vous décidez sciemment d’aligner deux pilotes avec un statut égal, il est clair que vous devez parfois gérer les conséquences de ce choix. Mais nous préférons cela plutôt que d’avoir un pilote n°1 et un pilote n°2."