Carlos Sainz est loin d’avoir connu le même sort que Charles Leclerc à Bakou. Alors que le pilote Ferrari n°16 signait la pole, celui à bord de la n°55 finissait la Q3 à plus de 8 dixièmes de son équipier.
Le constat est clair pour l’Espagnol : il va falloir progresser de son côté !
"C’était un après-midi et une matinée très difficiles car depuis les Libres, j’étais un peu nulle part dans mon ressenti avec le rythme de la voiture."
"J’avais juste beaucoup de mal, ce qui signifie qu’en Q3, j’avais déjà un jeu de pneus neufs en moins, je revenais vraiment de loin et ce n’était pas une bonne journée pour moi."
"Il y a un parc fermé et il sera difficile de changer quoi que ce soit et je devrai tout trouver en moi."
"C’est très délicat mais je peux aussi voir pourquoi la voiture se comporte très bien pour Charles."
"Comparé à l’Australie, c’est la même voiture, la même configuration, mais pour une raison quelconque, c’est un peu différent."
"Je pense aussi que Charles à Bakou a tendance à faire de très bons tours et est très rapide sur cette piste."
"Je vais faire mes devoirs, j’essaie toujours de m’analyser et de m’améliorer et j’essaierai de mieux faire demain. Mais c’est sûr que ça ne va pas être facile."
"C’est les compromis de ce format sprint, si vous êtes à l’aise c’est bien, sinon vous galérez deux fois plus."