Jean Todt est revenu sur l’accord entre la FIA et Ferrari et a précisé les options qu’il avait à sa disposition face à ce problème. Il explique avoir choisi un compromis face au problème rencontré, pour ne pas abandonner le cas, mais ne pas l’envoyer non plus devant la justice sportive.
"Trois options étaient disponibles" a expliqué Todt. "Fermer le cas, l’amener devant le tribunal international, ou trouver un accord. De telles décisions reviennent au président de la FIA, en accord avec les règles judiciaires et disciplinaires de la FIA."
"Le président a informé et consulté plusieurs membres clés de la FIA, ainsi que le PDG de la Formule 1, avec l’objectif de trouver un consensus sur la manière de régler ce cas."
Cependant, il n’a pas pris sa décision seul, expliquant avoir consulté les différents départements de la fédération et demandé une expertise légale.
Todt a en effet "sollicité et reçu des recommandations des équipes technique, légale et financière de la FIA, et a reçu des conseil d’un avocat externe [à la FIA] et expérimenté."
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