Ancien pilote Red Bull, Alexander Albon évolue cette saison chez Williams F1, qui occupe pour le moment la dernière place du championnat des constructeurs. Il lui a donc été demandé à Bakou quelles étaient les différences entre ces deux équipes concernant la manière de travailler.
"Il n’y a pas de secret, je pense que toutes les équipent opèrent d’une manière très similaire," a expliqué le Thaïlandais.
"Elles ont bien sûr toutes leur propre style de travail, mais rien qui ne saute aux yeux. Et si les faiblesses étaient si évidentes, nous n’aurions pas autant de difficultés. Pour nous, il s’agit davantage de nous en débarrasser. Nous travaillons donc sans relâche pour combler l’écart avec le milieu de tableau."
"C’est notre objectif prioritaire, nous voulons marquer des points et être dans la lutte pour la Q2. Et c’est une évidence, mais nous avons besoin de plus de rythme. Nous devons être plus rapides sur un tour."
Si la FW44 est actuellement la monoplace la moins performante du plateau, Albon rappelle que l’écurie anglaise n’a pas encore amené d’évolution importante sur sa monoplace à ce stade de la saison. Il reste néanmoins confiant pour ce weekend.
"Le problème est que nous n’avons pas encore apporté la moindre évolution importante. C’est bien sûr le cas de la majorité des équipes depuis Barcelone. Nous en avons quelques unes qui arriveront plus tard. Il est donc logique que nous soyons en difficulté en ce moment. Ca ne veut en revanche pas dire que nous faisons du mauvais travail."
"Ce circuit ressemble à ceux de Miami ou Monaco. Sur le papier, notre weekend n’avait pas l’air génial à Monaco, mais en réalité notre rythme était très bon. Nous pouvons être optimistes pour cette course. Et nous verrons ce qui se passe au Canada en attendant les évolutions."