Alex Albon avait une idole quand il était enfant, en la personne de Michael Schumacher. Le pilote Williams F1 se souvient avoir regardé la Formule 1 dès son plus jeune âge, et s’être pris de passion pour Ferrari et pour le septuple champion du monde allemand.
"J’étais un enfant obsédé quand je grandissais" explique Albon. "L’un de mes premiers mots a été "Ferrari", que j’appelais "Rari". C’était Ferrari et ensuite les pots d’échappement, j’adorais voir les quatre tuyaux d’échappement, qui étaient des ’smokes’."
"J’avais donc l’habitude de crier ’smokes’ ou ’Rari’. Pour ce qui est de la voiture, j’étais un grand fan de Michael Schumacher. Enfant, je faisais de grosses crises de colère si Michael ne gagnait pas."
"Ma mère avait une cassette VHS des meilleurs moments de la Formule 1 en 2001, et je connaissais toutes les courses qu’il avait remportées cette année-là, alors dès que j’avais un moment d’inattention, ou une mauvaise journée ou quoi que ce soit d’autre, je me lançais les victoires de Michael."
"C’était très tôt. J’ai toujours voulu être pilote de course et mon père avait l’habitude de courir. Je le qualifierais de semi-professionnel, je pense qu’il aimerait ça ! Mais il était bon, il était vraiment bon dans son travail."
Le père d’Alex, Nigel Albon, a été lui-même pilote, notamment en BTCC, mais il ne se souvient pas l’avoir vu rouler : "Pas vraiment. J’ai commencé à courir quand il a arrêté, il y a donc eu un croisement entre les deux. Mais c’était lui, il était mon ingénieur, mon mécanicien, mon entraîneur de pilote, c’était vraiment une relation père/fils."