Alex Albon a été ravi de découvrir la nouvelle livrée de Williams F1, qui ornera la FW46 qu’il pilotera en 2024. Le Thaïlandais s’attendait à voir une décoration bleue et s’amuse de l’évidence de cette couleur dans l’identité de l’équipe.
"Elle est belle, elle évolue subtilement par rapport à l’an dernier, plus de sponsors que l’an dernier ce qui est bien. Elle est bleue mais c’était attendu, je me serais inquiété si elle avait été autrement" plaisante Albon, qui explique ce qu’il pense avoir appris durant l’année 2023.
"J’ai eu plus de confiance, et plus d’alchimie avec l’équipe. La première année est pour apprendre à se connaître, et la deuxième année, on s’intègre mieux. Je regarde les choses qui permettent de progresser, il y a toujours des opportunités de faire mieux en matière de style de pilotage et de performance."
Albon espère désormais confirmer les progrès qu’il espère voir avec la nouvelle FW46, qui a été développée avec parcimonie pour viser en parallèle la septième place du championnat des constructeurs pour la saison 2023.
"C’était piégeux l’an dernier car on se concentrait énormément sur la septième place du championnat, et on ne pouvait pas faire beaucoup de travail de simulateur sur cette année. On a dû séparer et au fil de l’année, on s’est concentrés de plus en plus sur la FW46."
"Mais on a de bons pilotes de simulateur en coulisses, et à chaque fois qu’on est remontés dans le simulateur depuis novembre, les progrès ont été fascinants à voir. On ne sait jamais avant d’être à Bahreïn, mais c’est une bonne voiture à piloter."
Il explique quels sont ses objectifs pour 2024, sans oublier les progrès déjà effectués : "Je veux améliorer quelques petites choses personnellement, il y a toujours de la place pour progresser, mais on a fait un bon travail."
Et parmi les progrès constatés, il salue notamment l’apport de James Vowles, le directeur de Williams depuis le début de saison 2023 : "Je ne veux pas mettre de pression, mais c’est la première année où il a le contrôle et on peut le voir."
"Ces quatre ou cinq dernières années, il y avait une manière dont les voitures étaient conçues, et cette année on a changé, c’est pour ça qu’on parle d’une voiture différente, on s’est éloigné de nos vieilles habitudes."