Fernando Alonso se rend vers les plages de Zandvoort et son circuit de 4,259 km pour disputer la première course de sa carrière en F1 aux Pays-Bas.
L’Espagnol sort d’un week-end frustrant en Belgique qui n’a vu que trop peu d’action dimanche en raison des averses s’étant abattues sur Spa-Francorchamps.
Qu’avez-vous retenu de ce week-end piégeux sous une pluie incessante à Spa ?
C’était décevant de ne pas courir dimanche, mais je crois que cela aurait été trop dangereux compte tenu des conditions. Je pense que nous étions bien placés sur le sec, donc c’était dommage que la pluie s’en mêle. Nous avons emmagasiné beaucoup de données vendredi et samedi et cela nous aidera plus tard cette saison, mais personne ne souhaitait une telle fin. J’espère que nous pourrons proposer un beau spectacle pour les fans à Zandvoort.
Vous n’avez jamais couru aux Pays-Bas en Formule 1. Avez-vous hâte d’y être ?
Zandvoort sera intéressant pour tout le monde puisque très peu de pilotes y ont déjà roulé. Ce sera un défi unique et je suis sûr que l’ambiance sera au rendez-vous. Nous ne savons pas où nous nous situerons ce week-end, mais découvrir un tracé est devenu un peu moins extraordinaire ces derniers temps en F1. Nous avons analysé beaucoup de données de simulation et j’étais à Enstone cette semaine, donc je me sens aussi prêt que possible.
Y a-t-il une partie du circuit que vous êtes impatient de découvrir ?
J’aurai une réponse plus précise à cette question vendredi soir, mais le dernier virage me semble amusant. Il est assez unique et différent de tous les autres virages en F1. Je crains que les dépassements soient compliqués à Zandvoort, mais nous le saurons davantage après quelques tours. Dans tous les cas, notre position sur la grille de départ sera très importante.