Déjà reporté à une date ultérieure, le Grand Prix d’Azerbaïdjan a imposé des conditions à Liberty Media face à la possibilité de choisir une nouvelle date.
Tracé urbain, le circuit de Bakou nécessite du temps de fabrication et impose plus de contraintes qu’une piste permanente.
"Nous sommes d’accord avec la F1 sur le fait que nous ne confirmerons une date au calendrier que si la menace d’une autre annulation est derrière nous," assure Arif Rahimov, directeur du circuit de Bakou, qui rappelle qu’il faut prévenir les organisateurs à l’avance.
"Si la F1 peut respecter nos conditions, je pense que nous pourrons avoir un autre beau Grand Prix, sans impact négatif majeur sur les ventes de billets" poursuit-il, tout en s’inquiétant que les spectateurs ne soient pas au rendez-vous.
"Il peut y avoir un choc social à posteriori, un scénario dans lequel les gens éviteront les rassemblements publics par peur. De plus, à cause du coup porté à l’économie, les foyers auront moins d’argent à dépenser dans le divertissement."