Le président de la FIA, Mohamed Ben Sulayem, a déclaré qu’il avait des motifs juridiques pour bloquer l’approbation du nouveau circuit de Las Vegas l’année dernière, car celui-ci n’avait pas été achevé à temps.
Ben Sulayem a évoqué la certification de la nouvelle piste à Las Vegas avant que des allégations n’apparaissent affirmant qu’il aurait tenté de s’immiscer dans le processus d’approbation pour faire en sorte de bloquer le Grand Prix à la dernière minute.
"Le président de la FIA est celui qui signe l’homologation pour la nouvelle piste, ou pour toutes les pistes," confie-t-il à GP Racing.
"Je l’ai soutenu. J’aurais pu dire non, car il n’était pas prêt à temps pour l’inspection."
"Mais dès que mon équipe a dit que c’était sûr… parce que je suis pilote, je me soucie du bien-être des pilotes et des personnes qui les entourent, de notre staff et des commissaires. Je l’ai fait."
"Si j’avais dit non, cela aurait été désastreux pour la F1. Mais cela aurait été légal. Mais je fais attention parce que j’aime ce sport. En fin de compte, nous sommes dans le même bateau. Nous pouvons avoir des missions différentes. Mais nous sommes dans le même bateau. Nous ne pouvons pas laisser le sport sombrer."