Le président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, a révélé que Max Verstappen était « heureux » lorsqu’il a appris qu’elle était nature des travaux d’intérêt général qui lui serait confié.
Verstappen a été sanctionné pour avoir juré lors d’une conférence de presse officielle de la FIA à Singapour, ce qui a entraîné un boycott de longues réponses lors des conférences qui ont suivi.
La FIA a expliqué après le Grand Prix d’Abu Dhabi de fin de saison que la sanction de Verstappen impliquerait de se rendre au gala de remise des prix de la FIA au Rwanda. Le quadruple champion du monde de F1 doit travailler avec des jeunes pour stimuler le développement du sport automobile au Rwanda.
"C’est une histoire amusante - nous avons dit que nous avions besoin d’un langage verbal propre tout le temps," explique Ben Sulayem.
"Bien sûr, Max est très jeune, il a dit un mot et ensuite ils l’ont sanctionné par des travaux d’intérêt général."
"Je l’ai donc rencontré au Qatar et je lui ai dit : ’Max, ne t’inquiète pas. Ce que tu vas faire, c’est encourager et inspirer les jeunes filles et garçons qui veulent se lancer dans le sport automobile’."
"Il était si heureux. J’ai été champion dans ma région au Moyen-Orient pendant 20 ans, mais les gens qui m’ont fait sont aussi les fans."
"Et les fans ne viennent pas de loin, ce n’est pas seulement par Internet et les réseaux sociaux. Le fan, c’est quand vous vivez avec eux, quand vous vous asseyez avec eux, quand vous ressentez ce qu’ils vivent pour le sport auto."
"C’est donc une grande partie du devoir qu’un champion, un ambassadeur, doit donner en retour à la société. Et quoi de mieux, quand on parle de diversité, que sa présence ici ?"
"Il était si heureux, si content. Il était si heureux que lorsqu’il sera ici, il s’assoira avec les jeunes, les filles et les garçons à venir pour les inspirer."