Renault F1 a organisé un test sur une monoplace vieille de deux ans pour Fernando Alonso mais l’équipe française s’en serait bien passé.
Comme cela a été annoncé, l’Espagnol pourra rouler deux jours à Bahreïn de manière illimitée avec la RS18, afin de continuer à reprendre contact avec la F1 avant son retour en 2021.
Mais ce test a bien évidemment un coût, un coût qui aurait pu être évité si Racing Point n’avait pas mis son veto à la participation de Fernando Alonso aux tests pour les jeunes pilotes qui auront lieu après le Grand Prix à Abu Dhabi. Alonso aurait alors pu piloter la RS20.
C’est Cyril Abiteboul qui dénonce ses concurrents.
"Nous avons remarqué un esprit de collaboration et nous avons cru que c’était possible d’avoir une exemption afin de faire rouler Fernando. Ensuite, une équipe s’est mise en travers - c’était Racing Point. Et donc nous n’aurons pas Fernando sur la piste. Cela fait partie du sport," commente le directeur de Renault F1.
L’équipe française, à travers son académie, offre déjà de nombreux jours de tests privés à ses jeunes pilotes à bord d’une F1 et cela avait été salué par toutes les équipes... sauf une. La rancune est tenace chez Racing Point...