La troisième réunion de la Commission de Formule 1 en 2024 a eu lieu aujourd’hui, 23 juillet, dans les bureaux de la Formula One Management, à Londres.
La réunion était présidée par Nikolas Tombazis, Directeur de la monoplace de la FIA, et Stefano Domenicali, Président et Directeur Général de la Formule 1.
Voici un aperçu des principaux points de discussion et décisions :
Points de championnat
Il a été convenu à l’unanimité qu’il n’y aurait aucun changement dans la répartition des points de championnat (comme décrit dans les articles 6.4 et 6.5 du Règlement sportif) suite à une récente proposition visant à envisager d’étendre l’attribution de points au-delà de la 10e place dans un Grand Prix.
Poids minimum – voiture et pilote
Le poids minimum du pilote sera augmenté de 80 kg à 82 kg dans l’intérêt du bien-être du pilote. En conséquence, le poids minimum (la masse de la voiture, sans carburant) passera de 798 kg à 800 kg pour 2025.
Essais de pré-saison pour 2026
Le plan d’essais de pré-saison 2026 comprendrait neuf journées d’essais, réparties sur trois épreuves tests.
Règlement 2026
Les objectifs stratégiques généraux du règlement 2026 ont été réitérés, précisant que l’objectif primordial est de réaliser des courses rapides et serrées qui continueront à engager et à enthousiasmer les fans. Une mise à jour a été fournie sur le calendrier du règlement 2026 couvrant les questions techniques, sportives, financières et environnementales et que la collaboration continue menée par la FIA avec toutes les équipes était en bonne voie pour atteindre les objectifs et aller dans la bonne direction pour la finalisation du règlement.
Suite à de nouvelles discussions lors des prochaines réunions des comités consultatifs techniques et sportifs, une mise à jour des règlements 2026 relatifs aux règlements sportifs et techniques sera présentée au Conseil mondial du sport automobile le 17 octobre.
Une réunion extraordinaire de la Commission F1 aura lieu le 2 octobre pour discuter des questions relatives à 2026.
Règlements financiers
Il a été confirmé que les coûts liés aux congés de maternité/paternité, aux congés maladie et aux divertissements des équipes devraient rester exclus du périmètre du plafond des coûts.