Le pilote de l’Alpine Academy Jack Doohan fera, ce week-end à Mexico, ses débuts sur un week-end de Grand Prix.
Le jeune Australien prendra le volant de l’A522 lors de la première séance d’essais libres. Jack explique les sentiments qui l’habitent alors qu’il se prépare à sa première apparition sur une séance officielle au volant d’une Formule 1.
Êtes-vous impatient de participer aux Essais Libres 1 à Mexico ?
« Tout d’abord, je suis extrêmement reconnaissant envers l’équipe de m’offrir l’opportunité de piloter lors des Essais Libres 1. C’est une opportunité fantastique pour moi et je suis vraiment impatient de conduire la voiture de Esteban lors de la séance. Pour moi, c’est un pas de plus vers la réalisation de mon objectif ultime qui est d’atteindre la Formule 1 et je ferai de mon mieux pour tirer le maximum de cette expérience. L’équipe me donnera tout un programme à passer en revue, je travaillerai dur, je ferai de mon mieux et profiterai en même temps du moment. »
Comment vous êtes-vous préparé ?
« J’ai conduit l’A522 à Monza en septembre lors d’une journée de tournage. Ce fut une bonne occasion de me mettre dans le bain et d’avoir un premier aperçu de ce qu’est de conduire une Formule 1 moderne. En outre, j’ai approfondi ma préparation en passant un peu de temps sur le simulateur, à Enstone, où j’ai pu découvrir le circuit et acquérir une certaine compréhension de certaines de ses caractéristiques, ce qui a été très bénéfique. La semaine dernière, j’ai rejoint l’équipe à Austin et j’ai passé du temps avec les mécaniciens et les ingénieurs pour apprendre les principaux processus mis en place lors d’un week-end de course. Je me sens définitivement prêt pour cette opportunité ! »
Quels sont les objectifs que vous souhaitez atteindre au cours de la session ?
« L’objectif principal sera de travailler avec l’équipe et de passer en revue le programme établi pour la session. Je piloterai en fonction de ce qu’ils ont décidé de faire et je jouerai mon rôle pour que la voiture soit réglée dans la bonne fenêtre pour le reste du week-end. Ce qui sera intéressant, c’est de sentir comment la voiture se comporte à une telle vitesse - bien au-dessus de 360 km/h - et de gérer les effets de l’altitude, qui nous donnera l’impression que la voiture est légère. Par-dessus tout, je vais travailler dur avec les ingénieurs et profiter de l’expérience de piloter une voiture de Formule 1 ! »