La prolongation de contrat entre Lewis Hamilton et Mercedes F1 a été entourée de nombreuses spéculations, à commencer par la possible présence d’une clause empêchant l’équipe de recruter certains pilotes, dont George Russell ou Max Verstappen.
Selon Bernie Ecclestone, ce n’est pas impossible puisque la F1 l’a déjà vu auparavant. On se souvient évidemment de la clause anti-Ayrton Senna d’Alain Prost, mais le Britannique rappelle également que Michael Schumacher était de facto le numéro 1 chez Ferrari, et qu’il avait tout pouvoir sur le choix des pilotes.
"Michael n’avait même pas besoin d’une clause de contrat pour ça" se souvient l’ancien grand argentier de la F1. "Il était le numéro 1 clair, et Ferrari voulait retrouver ses jours de gloire avec lui."
"C’est pour ça que Jean Todt lui demandait toujours en avance qui il voulait comme équipier. Michael pouvait vivre avec Eddie Irvine, Rubens Barrichello et Felipe Massa. Si Michael avait émis une objection, ils n’auraient pas fini chez Ferrari."