Charles Leclerc a reconnu avoir mis son équipe Ferrari "en colère" après avoir fait un saut en parachute à Dubai pendant l’hiver.
Les pilotes de Formule 1 sont normalement encadrés concernant les risques qu’ils peuvent prendre hors piste. C’est évidemment le cas du jeune Monégasque mais il confesse ne pas avoir prévenu son employeur dans ce cas précis.
"Normalement, si j’ai quelque chose d’un peu hors du commun en tête, je demande toujours à Ferrari l’autorisation," explique Leclerc.
"Mais dans le cas du saut en parachute, j’ai fait une exception. Je me suis dit que même s’il y avait un problème, je n’aurais pas l’occasion d’être sermonné," ironise-t-il quant à l’issue, probablement fatale, en cas de souci avec un parachute.
"Quand ils ont découvert ça, ils étaient un peu en colère, je ne le ferai pas une deuxième fois."
Un pilote de F1 a réussi à s’affranchir de toutes ces clauses ou presque, Lewis Hamilton. Ce dernier a une vraie passion pour la moto, y compris de compétition. Leclerc est aussi un passionné et s’est d’ailleurs récemment offert une belle machine : grâce aux préparateurs français Bad Winners, il dispose d’une Husqvarna 701 Vitpilen sur mesure nommée Apex 2.0.
Leclerc pourrait-il demander à Ferrari un test sur une Ducati de MotoGP, comme Hamilton a pu le faire avec la Yamaha de Rossi ?
"J’adorerais l’essayer parce que j’aime les motos en général. Mais je ne sais pas si Ferrari pense la même chose. En tout cas, je dois d’abord demander la permission... et je ne sais pas si je l’obtiendrai !"