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FIA : Ben Sulayem veut retirer certaines ’barrières’ pour la diversité

Trouver les talents de demain pour la F1 mais pas seulement

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Mohammed Ben Sulayem, le nouveau président de la FIA, est très occupé pour sa première année de mandat, avec notamment un travail important à réaliser pour favoriser la diversité et l’inclusion au sein du sport automobile.

L’une des volontés de la FIA est de renforcer la présence des femmes dans les différentes catégories, avec l’espoir d’avoir un jour un pilote féminin en F1.

Conscient du fait qu’il est actuellement difficile pour les femmes de parvenir à faire jeu égal avec les hommes à bord d’une monoplace, Ben Sulayem rappelle qu’elles sont déjà bien représentées dans les différentes disciplines.

"Regardez en karting, elles sont là. Et en rallye j’avais une femme pour copilote, mais vous ne ressentez aucune différence."

"Notre discipline leur a toujours été ouverte. Alors pourquoi dire ’oh, nous autorisons les femmes ?’ Les femmes sont présentes partout : même en course de dragsters aux Etats-Unis, sur circuit, en rallye, partout."

"Et quand ce n’est pas le cas, nous devons rendre ça possible. Les femmes ont ce problème en F2 et en F3 : peut-être que c’est physique, peut-être que c’est dû à la manière dont les voitures sont conçues, nous avons donc dit à notre commission médicale que ’nous voulons enlever cette barrière’."

"Mais si nous enlevons cette barrière technique et que les femmes ne se qualifient pas, ce ne sera pas à cause d’une barrière. C’est à elles de faire en sorte d’être éligibles si la FIA a retiré ces barrières."

Au sujet de la diversité, le président de la FIA explique que l’instance fait tout son possible pour recruter des talents à l’international, tout en offrant d’autres perspectives que celles de devenir pilote de course.

"Voici un exemple de diversité : lorsque vous repérez un talent, n’importe où dans le monde, pour le faire grandir il aura besoin d’une opportunité. C’est là qu’il est question de diversité. Vous devez offrir une opportunité à ce talent afin qu’il puisse grandir."

"Et ce que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud ou en Asie, et pas seulement pour devenir pilote mais aussi pour devenir membre de la FIA, c’est ainsi que nous développons notre université en ce moment. Il est possible de rejoindre le sport et la mobilité à travers les programmes d’apprentissage universitaires."

"En fin de compte, tout le monde ne peut pas devenir pilote. Il n’y en a que 20 en Formule 1. Mais il y a aussi toute la partie ingénierie. C’est là que nous intervenons. C’est pourquoi nous discutons beaucoup avec les équipes, afin qu’elles nous aident à obtenir plus de bourses pour certains ingénieurs."

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