Romain Grosjean a franchi la Q1 avec une Haas vieille de quatre mois, contrairement à Kevin Magnussen, qui disposait de la dernière évolution. Le fait qu’il se fasse battre par son équipier, qui possédait pourtant la spécification de Melbourne, montre le problème chez Haas.
"Il y a effectivement quelque chose a comprendre sur les voitures, l’ancienne voiture en termes de feeling est géniale, depuis le début du week-end je m’éclate" note Grosjean. "Hier, c’était un peu plus compliqué avec le vent parce que la voiture y est sensible, mais ça montre qu’il y a un problème sur ce package, qu’il ne fonctionne pas comme il le devrait."
"C’est la même voiture qu’à Melbourne, on a eu un souci en Q2 sur les trains de pneus, mais j’avais de quoi aller en Q3, on est en train d’analyser le problème qu’on a eu, je n’ai pas réussi a faire un bon tour mais j’aurais pu aller en Q3, et ça aurait été beau avec une voiture qui a 4 mois !"
Pour la course, il ne sait pas encore à quoi s’attendre et préfère analyser toutes les infos du jour avant de se prononcer : "Ça dépendra des conditions mais la voiture devrait être pas mal, elle va bien dans les lignes droites, elle a peu de traînée, j’espère qu’elle sera plus gentille que les autres a levec pneu avant gauche."
"Ce n’est pas sa qualité principale à ce package, il est très stable avec peu de sous-virage. On verra ensuite ce qu’on fera pour Hockenheim, sur une piste très différente, si on la garde pour la suite. Il y a une belle perte aérodynamique, mais le temps au tour est là."